La méthodologie d’enquête en sciences sociales

Afin d’assurer sa crédibilité, la connaissance scientifique doit se démarquer et se détacher du simple propos, de l’intuition et de l’affirmation non vérifiée.  Elle doit appliquer des méthodes rigoureuses afin de recueillir, de valider et de vérifier son information. En matière des sciences sociales, l’enquête de terrain est la procédure méthodologique appropriée à la recherche empirique. C’est le processus qui permet d’obtenir, l’information relative aux phénomènes de société, d’économie, d’espace, etc., en vue de son analyse. Elle vise l’observation et la compréhension des phénomènes de société tels que les comportements, les systèmes relationnels, les comportements de consommation, les attitudes et les opinions, etc.

Les types d’enquête :

On distingue toutefois trois grandes familles de méthodes d’enquêtes : les enquêtes quantitatives, les enquêtes qualitatives et les méthodes d’observation directe et participative, de type ethnographique.

1. Les enquêtes quantitatives sont des enquêtes qui visent l’observation des phénomènes de société, des comportements, et la mesure d’attitudes et d’opinions, etc.

Combien de gens ont l’intention de voter ? À quelle fréquence les gens vont à la bibliothèque publique ? Quelle est l’intensité d’une attitude, selon une échelle de valeur ? Les enquêtes quantitatives obéissent à la règle du nombre et, leur validité dépend de la taille de l’échantillon, de la méthode d’échantillonnage et de la qualité du sondage. Ces enquêtes consistent davantage à mesurer et observer des phénomènes et à identifier de possibles corrélations avec d’autres variables, pour tirer des conclusions objectivement quantifiables. Elles opèrent à l’aide de sondages auprès d’un échantillon aléatoire ou représentatif de la population d’enquête.

2. Les enquêtes qualitatives, sont des enquêtes qui visent la compréhension des phénomènes à travers l’observation d’aspects qualitatifs ; soit le pourquoi et le comment du geste ou du comportement ? Les enquêtes qualitatives opèrent à l’aide de minutieux et longs entretiens individuels ou collectifs, directs et non dirigés auprès de potentiels acteurs concernés (échantillon de petit nombre de 20 personnes en moyenne). L’enquête peut s’intéresser à un conflit, afin d’identifier et de comprendre les logiques des différents acteurs, leurs différents objectifs, leurs motivations et leurs stratégies. La validité de ces enquêtes dépend de la qualité de l’entretien et de ses conditions (choix des personnes, conception du questionnaire, préparation du guide et du protocole d’entretien, choix du lieu et du temps et qualité des conditions de déroulement). Il faut préciser que les entretiens directs et non dirigés sont appropriés pour des analyses d’opinions et révèlent une information plus riche et nuancée, cependant difficile à gérer et à traiter. La forme particulière de ces entrevues de groupe est celle des groupes focalisés. Ce sont des entrevues collectives qui durent de 1 à 3 heures et regroupent entre 6 et 12 personnes par séance. Les enquêtés sont organisés en groupes semi-structurés de personnes invitées à s’exprimer sur des thèmes définis d’avance avec le support d’un animateur médiateur qui, d’une façon très neutre est appelé à gérer des séances d’entretiens. Il est recommandé de former des groupes avec des personnes qui ne se connaissent pas et qui doivent avoir un lien ou un intérêt au thème abordé, sans pour cela être des experts. Ce genre d’entretiens est préconisé pour l’analyse d’une situation ou une demande sociale, permettant aux participants de s’exprimer sur leur façon de voir le phénomène.

3. Selon la méthode d’observation directe et participative, d’usage dans le domaine de l’ethnologie et de l’anthropologie, l’observateur intègre le groupe et le milieu observés et participe aux rituels et aux activités sociales du groupe, pour mieux les observer, les décrire et décrire minutieusement les conditions de leur déroulement aussi bien spatiales que temporelles. La sociologie commence à emprunter d’une façon complémentaire, la voie de l’enquête directe et participative.

Les étapes de l’enquête 

Une enquête n’est pas une finalité en soi, mais un outil et un processus pour obtenir et valider de l’information destinée à l’analyse. La planification de l’enquête doit-être précédée et soutenue par la formulation de la problématique. La réussite de l’enquête dépend du niveau de sa planification, de sa préparation, de son organisation et des conditions de son déroulement. Les principales étapes de l’enquête sont :

  1. Tracer les objectifs et définir l’objet sont les premiers gestes pertinents à poser. La détermination des objectifs consiste à définir : quels sont les résultats attendus ? Simple connaissance ? Ou connaissance exploratoire ? Ou observation d’un phénomène et mesure de sa tendance ?  Ou vérification d’hypothèses ?
  2. Définir l’objet consiste à déterminer quel est ou quels sont les objets ou les éléments d’objet à observer ? Comportements ? Attitudes ? Opinions ? Perceptions ? Espaces ? Relations socio spatiales ? Relations sociales ? Pratiques sociales ? Pratiques spatiales ? Définir ces deux éléments aide à mieux cerner la portée de l’enquête, la nature des éléments à observer, à définir les indicateurs d’observation appropriés et les unités de mesure et les échelles de valeurs appropriées à appliquer.
  3. Circonscrire le terrain, consiste à désigner les limites de l’aire spatiale dans laquelle est établie la population d’enquête (quartier, secteur, ville, région, etc.) ; ceci dépend bien entendu de la portée et des objectifs de l’enquête.
  4. Définir la population d’enquête consiste à cerner la population visée par l’enquête (les écoliers, les habitants d’un quartier, une catégorie d’âge, les travailleurs d’un secteur d’activité, etc.)
  5. Choisir la méthode d’enquête : méthode quantitative par sondage ou méthode qualitative par entretiens directs et non dirigés ou semi-dirigés, individuels ou de groupes (dont les focus groupes).
  6. Construire un échantillon selon les techniques appropriées : quoique la validité d’une enquête quantitative repose sur le nombre, il n’est pas toujours possible de sonder d’une façon exhaustive l’ensemble de la population (sauf dans le cas de recensements), d’où l’importance de bien construire un échantillon réduit de cette population apte à exprimer une opinion représentative et à rendre compte de la tendance globale et sans biaiser l’enquête. L’échantillonnage nécessite la détermination d’un certain nombre de conditions, dont :
  •  La détermination de la taille de l’échantillon : en règle générale, plus la population est grande, plus l’échantillon doit être grand ; mais cette règle ne fonctionne pas d’une façon proportionnellement linéaire, car à un certain seuil, l’augmentation de la taille n’exerce plus d’influence sur la précision des résultats. Il faut alors aller avec les budgets temps et argent et considérer les conditions de faisabilité (dépendamment des objectifs, de la portée, de l’échelle et de la taille totale de la population ; en général il est recommandé d’appliquer une moyenne de 200 environ). Des tables et des logiciels sont conçus pour nous aider à calculer la taille de l’échantillon[1]. On a besoin de définir un certain nombre de paramètres pour effectuer le calcul : 1. La taille totale de la population d’enquête ; 2. Le taux d’erreur, qui signifie le niveau de risque accepté. C’est la marge d’erreur négative et positive à rajouter. Un taux généralement utilisé de 5 % d’erreur, signifie que pour une réponse que donnent 50 % de votre échantillon, on rajoute de part et d’autre 5 %, pour penser que 45 % à 55 % des répondants auraient répondu la même réponse. Le taux d’erreur varie sur une échelle de 1-10, mais il n’est pas recommandé d’aller au-delà de 10 %, pour ne pas compromettre la validité des résultats. À titre indicatif la table référentielle donne des indications sur les modalités de calcul de la taille. À titre d’exemple, avec l’option d’une marge d’erreur de 5%, la taille de l’échantillon pour une population totale de 100 est de 80, et pour une population totale de 1000 l’échantillon est de 278, et pour une population totale de 10 000, la taille de l’échantillon est de 370, et pour une population totale de 100 000 la taille est de 383 et pour une population totale de 1 000 000 et plus la taille de l’échantillon est de 384[2].
  • La détermination du taux de sondage, soit le rapport de la taille de l’échantillon (n) à la taille de la population (N) ; 
  •  L’estimation du taux de réponse soit la proportion des personnes qui vont réellement répondre. Cet élément nous aide à estimer le nombre total de personnes à qui envoyer un questionnaire ; chiffre obtenu en divisant la taille de l’échantillon par le taux de réponse; par exemple pour un échantillon de 300 personnes, avec un taux de réponse de 30 % il faut envoyer le questionnaire à 1000 personnes, soit (300 divisés par 0,30). Un bon taux se situe en moyenne à 30 % et un taux prudent se situe à environ à 15 %; mais tout dépend de la nature d’enquête, du type de population et de la méthode d’échantillonnage ;
  • Le choix d’une méthode d’échantillonnage : on distingue à cet effet, deux catégories de méthodes d’échantillonnage, probabiliste et non probabiliste. L’échantillonnage probabiliste est fondé sur la loi du nombre, soit le principe que tous les éléments de la population ont une chance égale d’être choisis. Il assure une représentativité statistique fondée sur la loi des grands nombres. L’échantillon est aléatoire et consiste à un tirage qui se fait selon des règles précises, à partir d’une liste exhaustive. Les échantillons sont obtenus d’une façon aléatoire mais pas anarchique, à partir d’une base de sondage soit la liste de toute la population d’enquête mère (liste d’élèves, liste d’employés, liste électorale, annuaires, etc.). C’est une méthode plus longue et plus couteuse. Elle donne lieu à plusieurs types d’échantillons, dont : l’échantillon aléatoire simple, l’échantillon systématique, l’échantillon par grappe et l’échantillon stratifié. Le plus répandu est l’échantillonnage simple aléatoire (largement utilisé par les professionnels de la statistique), Il consiste à choisir au hasard mais selon des règles précises à partir d’une liste complète, des éléments de la population mère. Le tirage au hasard de noms ou de jetons est possible lorsque la taille de l’échantillon est petite ; lorsque la taille est plus grande, la sélection aléatoire se fait à l’aide d’une table de nombre aléatoire ou par ordinateur. L’échantillonnage non probabiliste ou empirique consiste à recruter les unités de l’échantillon sur le terrain même en procédant au recrutement de façon accidentelle ou volontaire. La construction de l’échantillon est fondée sur la considération des caractéristiques représentant la population mère. Il n’est pas fondé sur le hasard ; mais il part de l’hypothèse que la distribution des caractéristiques à l’intérieur de la population est égale. Les avantages d’une telle méthode sont la rapidité, le coût réduit et nul besoin d’une base de sondage (liste). Cette méthode donne lieu à plusieurs types d’échantillons, dont : les échantillons par quotas, les échantillons accidentels et les échantillons de volontaires. Le plus répandu de ces types est l’échantillon par quotas (largement utilisé par les instituts de sondages et de marketing). Il est fondé sur une reproduction fidèle des caractéristiques de la population mère à partir des données statistiques. Il s’agit de construire l’échantillon de façon à respecter à partir de l’information statistique, la distribution de certaines  variables contrôlées (âge, genre, niveau d’instruction, profession, revenu, etc.), de façon à reproduire un échantillon assez représentatif de la population mère et, considérant que le fait de respecter une bonne distribution de ces variables donnerait une représentation assez fidèle quant à la distribution des autres variables. Si la population mère est composée de 45 % d’hommes, de 55 % de femmes et de 30 % des personnes âgées entre 25-40 ans, etc. Il faut reproduire les mêmes proportions au niveau de l’échantillon. La distribution des variables peut se faire d’une manière simple, en considérant ces variables d’une façon indépendante ou composée en considérant les variables combinées. La rigueur nécessite l’application de règles strictes : ne pas sonder deux fois la même personne ; ne pas questionner des personnes qui se connaissent ou qui connaissent l’enquêteur ; respecter une répartition géographique assez équitable ; contrôler d’une façon stricte la feuille des quotas.

7. Concevoir et élaborer le questionnaire : Il s’agit de l’outil de base de l’enquête. Une fois l’objet et l’objectif définis, il devient facile de concevoir et d’élaborer le questionnaire.

  • Contenu du questionnaire : Il faut d’abord désigner la base du sondage, soit, la variable principale et les variables secondaires. La variable principale désigne le phénomène principal à étudier (décomposé en éléments d’objet identifiables pour faciliter son observation). Les variables secondaires sont celles liées à l’objet principal d’étude, qui selon les hypothèses peuvent avoir une corrélation possible avec ce phénomène ; il peut s’agir entre-autre de l’âge, du sexe, du niveau d’instruction, du revenu, etc. ;
  • La forme du questionnaire : il faut procéder ensuite à la formulation interrogative de l’objet d’observation. Le questionnaire est essentiellement sous forme interrogative et s’annonce avec les formules : qui, quoi, où, comment, quand et lequel, etc. ? Selon la nature de l’enquête, les questions peuvent être ouvertes ou fermées. Si les enquêtes qualitatives font appel à des questions ouvertes, les questions fermées à choix de réponse, sont plus adaptées aux enquêtes quantitatives, car facilitant la gestion de l’enquête et le traitement des données.

Dans le cas d’une enquête qualitative, l’intérêt porterait sur la préparation et l’élaboration du questionnaire et du guide d’entretien.

  • Les règles à respecter consistent à suivre un certain nombre de règles, dont : une bonne présentation ; la formulation de questions claires, concises, brèves, neutres et pertinentes ; la numérotation des questionnaires et le codage des questions et des réponses ; commencer le questionnaire par quelques questions tests afin de s’assurer que le questionné répond bien aux exigences de l’échantillon ; s’assurer aussi de commencer par des questions faciles et attrayantes pour susciter l’intérêt du questionné ; rédiger une courte introduction pour présenter le questionnaire, marquer le passage d’une section à une autre à l’aide d’une courte articulation et conclure avec les questions générales du profil socio-économique.
  • Attention à la formulation des questions : une question ouverte s’annonce souvent avec des formules ouvertes et sans choix de réponse, de manière à laisser pleine liberté à la personne de s’exprimer, à l’exemple de : Que pensez-vous de …….? Que signifie pour vous…? À votre avis….? Ce sont des questions qui répondent plus à un souci d’analyse que de quantification, appropriées aux enquêtes qualitatives à entretiens directs. Elles donnent des résultats plus riches et nuancés, cependant difficile à gérer et à traiter.
  • Une question fermée est souvent soutenue d’un choix de réponses, afin de faciliter le traitement quantitatif. Si celles-ci présentent l’avantage de la facilité de traitement de l’information, elles présentent le risque d’influencer la réponse de la personne sondée.
  • Une interrogation relative à un comportement doit-être soutenue d’un verbe d’action: Avez-vous fait (verbe d’action) ?
  • Une question relative à la fréquence est souvent soutenue par la formule combien de fois ? Du style : combien de fois par semaine allez-vous à la bibliothèque publique ?
  • Une interrogation sur l’intensité est soutenue par la formule : combien de fois ? Ou avec un choix de réponses graduelles, du style : quel type de relation entretenez-vous avec votre voisin : occasionnelle, régulière, faible, moyen, forte ?
  • Une interrogation relative au lieu, s’annonce souvent avec la formule où, du style : où est ce que vous avez étudié ?
  • Une interrogation relative à une relation est soutenue par une typologie appropriée de réponses du style : quel type de relation entretenez-vous avec votre voisinage : courtoise, amicale, intime, neutre, négative ?
  • Les questions visant la mesure d’attitudes et d’opinions sont souvent soutenues d’une échelle de valeurs et s’annoncent souvent de la manière suivante : sur une échelle de 1 à 10,  où 1 désigne parfaitement en accord et 10 parfaitement en désaccord, dans quelle mesure diriez-vous être en accord  ou en désaccord avec l’énoncé suivant : ……………………… (Hypothèse, affirmation) ; classez les événements suivants, du plus important au moins important, selon une échelle de 1 à 5, où 1 désigne le plus important et 5 le moins important. Comment évaluez-vous l’événement? Diriez-vous très réussi, moyen, peu ou pas du tout ? Croyez-vous que le programme gouvernemental de soutien aux sans emploi est équitable ? Oui, non ou je ne sais pas ;
  • À éviter les questions stériles et sans issue, imprécises et vagues, car les réponses aboutissent à des réponses  générales, confuses ou évasives.

7. Planifier la durée, la fréquence si nécessaire (par exemple : sondages politiques, sondages de tendance), les moyens, les ressources et les modalités d’exécution de l’enquête. Les besoins et les moyens peuvent être identifiés et planifiés dépendamment de la méthode d’entretien choisie : des entretiens directs et longs en personne ou des sondages indirects administrés en ligne, par téléphone ou par la poste, etc. Les outils disponibles relatifs aux sondages en ligne facilitent beaucoup la réalisation et la gestion des sondages, et réduisent les coûts.

8. Procéder à un pré-test auprès d’un nombre limité de personnes à sonder, afin de détecter à l’avance les faiblesses, les incohérences et les incompréhensions que le questionnaire peut présenter et ainsi procéder aux modifications et ajustements qui s’imposent, avant même de commencer l’enquête. Aussi, le pré-test sert à tester le taux de réponse et le temps exigé pour compléter le questionnaire.

9. Procéder à la réalisation de l’enquête

10. Procéder au dépouillement des données en vue de leur traitement. À cette étape, il faut procéder à la saisie de l’information en utilisant une application de gestion des bases de données (Excel, Access, etc.), pour faciliter son traitement, sa gestion et son analyse.

11. Procéder au traitement des données, selon les techniques de compilation, de mise en relation et de croisement des données, en vue de les analyser. On considère généralement trois procédés, soit : Le tri à plat ou le tri simple s’appliquant à une seule variable ; le tri croisé, considérant deux variables à la fois et enfin le tri multi variables.

12. Rédiger le rapport d’enquête.

13. Clôturer l’enquête.

Le 6 septembre 2014


[1] ChecKMarKet, Calculer une taille d’échantillon. [En ligne]. [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : https://fr.checkmarket.com/ressources-etudes-de-marche/taille-de-lechantillon/

SURISTAT, Calculer la taille d’un échantillon. [En ligne]. [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : http://www.suristat.org/article25.html

[2] SurveyMonkey, Taille de l’échantillon de sondage. [En ligne]. [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : https://fr.surveymonkey.com/mp/sample-size/

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Bibliographie :

  1. BDC,  « Outils de Sondage en ligne » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : http://www.bdc.ca/FR/solutions/carrefour_tech
  2. CHECKMARKET,  « Calculer une taille d’échantillon » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : https://fr.checkmarket.com/ressources-etudes-de-marche/taille-de-lechantillon
  3. GOOGLE, « Réaliser un sondage en ligne par Google drive » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  http://www.google.com/intl/fr/drive/using-drive/
  4. DEL BAYLE, Jean-Louis, Initiation aux méthodes des sciences sociales. Paris-Montréal, L’Harmattan, 2000, 272 p. Une édition numérique réalisée par, Émilie Tremblay, bénévole, doctorante en sociologie à l’UQAM. [Autorisation de diffuser ce livre dans Les Classiques des sciences sociales accordée par l’auteur le 8 avril 2012.] [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  http://classiques.uqac.ca/contemporains/loubet_del_bayle_jean_louis/initiation_metho_sc_soc/initiation_metho_sc_soc.html
  5. CIBOIS, Philippe, Les méthodes d’analyse d’enquêtes, Paris, Les Presses universitaires de France, Collection : Que sais-je ? No 3782, 2007, 127 p. Une édition électronique réalisée à partir du livre [Autorisation formelle accordée par l’auteur 16 décembre 2010, de diffuser ce livre dans Les Classiques des sciences sociales.] [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  http://classiques.uqac.ca/contemporains/cibois_philippe/metho_analyse_enquetes/metho_analyse_enquetes.html
  6. Sondage  Online,   « Sondage en ligne ». [En ligne]. [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  https://www.sondageonline.com/?url=use
  7. STATISTIQUES CANADA,  « Méthodes d’échantillonnage. [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  http://www.statcan.gc.ca/edu/power-pouvoir/ch13/nonprob/5214898-fra.htm http://www.statcan.gc.ca/edu/power-pouvoir/ch13/sample-echantillon/5214900-fra.htm
  8. STATISTIQUES CANADA, Méthodes et pratiques d’enquête, 2010, édition en format PDF. [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  http://www.statcan.gc.ca/pub/12-587-x/12-587-x2003001-fra.pdf
  9. SURISTAT,  « Calculer la taille d’un échantillon » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : http://www.suristat.org/article25.html
  10. SURVEYMONKEY,  « Taille de l’échantillon de sondage » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au :  https://fr.surveymonkey.com/mp/sample-size/
  11. SURVEYMONKEY, « Sondage en ligne » . [En ligne] [Consulté le 5-9-14]. Disponible au : https://fr.surveymonkey.com/?ut_source=header